C’est maintenant qu’il est possible de stopper l’agression contre le pouvoir d’achat !

Le pouvoir joue la montre parce que ses coups vont pleuvoir contre le salaire :

• hausse des taxes sur les carburants, 

• gel du SMIC et des salaires, 

• CSG en plus et un demi-mois en moins pour les retraités,

• hausse des cotisations pour les complémentaires et les mutuelles, 

• spoliation du Livret A d’épargne populaire, 

• désindexation des prestations sociales, tarifs de certains médicaments, 

• risques liés au prélèvement à la source…

Voilà pourquoi le gouvernement Macron fait un tir de barrage contre le mouvement : il veut frapper de plus belle !

Le gouvernement répond « non » et grenade de plus belle.

Le peuple n’existe pas pour les institutions d’un gouvernement tourné vers le service exclusif des riches.

C’est lui qui a provoqué et encouragé la radicalisation qui part d’un refus de la taxe carburant vers de véritables « cahiers de doléances », comme en 1789.

C’est sous la responsabilité de Macron que la réponse n’est que policière, provoquant un malaise au sein même de cette institution.

Les revendications liées à la détermination d’un mouvement ancré sur la réalité locale en fait une vague de fond contre le système.

Les commentaires malveillants se moquent du caractère dispersé des demandes des Gilets Jaunes. Comment en serait-il autrement ?

Ce sont des demandes relevant du mal vivre, mêlant revendications immédiates et exigences de justice par l’impôt et encore de revendications sur la démocratie sociale.

ALORS ? 

  • Multiplions les rendez-vous rouges et jaunes ;
  • Échangeons les informations ;
  • Construisons le mouvement.

Créons une situation où l’opinion majoritaire se transforme en mouvement majoritaire !

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