Nouvelles journées de mobilisation unitaire en perspective pour notre salaire, notre emploi, notre protection sociale, notre retraite : le 10 octobre rassemblement devant le ministère du Travail ; le 15 octobre manifestation.
Amplifions la mobilisation pour notre salaire, notre emploi, notre protection sociale, notre retraite
Augmenter les salaires, les pensions et les minima sociaux est une nécessité pour relancer l’économie et l’emploi et pour financer la protection sociale et nos retraites.
Les effets néfastes des stratégies patronales, relayées par les plans d’austérité décidés par les gouvernements, ne sont plus à vous expliquer. Ils conduisent l’immense majorité d’entre nous à ne plus admettre de vivre de plus en plus mal DANS et DE son travail et d’avoir de moins en moins de projection possible sur son avenir, en particulier pour les jeunes.
Le processus de mobilisations unitaires proposé par la CGT est seul à même d’ouvrir des perspectives d’amélioration pour les salariés, les retraités et les privés d’emploi. De la participation de chacune et chacun dépend sa force et de celle-ci, la possibilité de gagner !
Pour préparer le 15 octobre, saisissons nous de la semaine du 7 au 11 octobre pour interpeller le patronat et les parlementaires sur les attentes sociales concernant les salaires, l’emploi, les conditions de travail, la protection sociale et la retraite.
Ce sont les salariés par leur travail qui créent les richesses, mais tant que le patronat et les gouvernements appréhenderont le travail comme un coût, le chômage et la précarité augmenteront et le pouvoir d’achat baissera. Cette politique d’austérité alimente la récession économique et industrielle en France. Avec la confédération européenne des syndicats, nous disons que l’austérité menée partout en Europe n’est pas la solution mais le problème : il faut changer de cap dans chaque pays.
Pour gagner sur les salaires, l’emploi, l’égalité professionnelle et améliorer nos conditions de travail, c’est dans chaque entreprise, chaque groupe, chaque branche professionnelle qu’il est nécessaire de gagner l’ouverture immédiate de négociations pour porter nos revendications pour une autre répartition des richesses. Le prix de notre travail doit l’emporter sur le coût du capital.
Gagner sur ces questions ouvre d’autres perspectives pour le financement de la protection sociale et pour une autre réforme des retraites.
Faisons partout du 15 octobre, journée nationale de grève et de manifestations interprofessionnelle, une nouvelle étape unitaire de mobilisation pour porter TOUS ENSEMBLE nos revendications.