Macron est le paradis fiscal des riches.
Le président jupitérien savait, pendant la campagne présidentielle, que Whirlpool Amiens allait détruire les emplois au service de l ‘évasion fiscale du groupe américain.
Comme il était au courant, lui, l’omniscient des banques, que Total et Dassault maîtrisaient le sport national des riches, l’usage des paradis fiscaux en réseaux.
Macron, une fois au pouvoir, gardien de la galaxie de ces paradis, matraque les retraités avec la CSG, privé les jeunes d’aides à l’emploi et au logement. Puis, satisfait de son chantier, il libère les riches de l’ISF et instaure la Flat Tax pour les rassurer.
Plus vite, plus haut, plus fort, Macron, au chevet des employeurs jouant aux martyrisés par le droit social, éradique le Code du travail pour leur garantir l’impunité des licenciements et la baisse de la rémunération du travail.
Comme pour les Paradise Papers, ce que fait Macron n’est peut-être pas illégal, mais n’a rien à voir ni avec la justice sociale ni avec la morale.
Banaliser le mal ? Se résigner, pire, collaborer ?
Le Front Social appelle à une marche vers l’Élysée le 18 novembre, parce que là est concentré le pouvoir de nuisance contre les chômeurs, les salariés, les jeunes, les femmes, les précaires, les assurés sociaux, les entreprises du secteur social, etc.