Parce qu’un syndicat de la CGT défend les droits humains, et cette affaire met en lumière le fait que les droits des enfants et leur parole sont trop souvent sous-estimés, voire ignorés.
Parce que l’affaire Bétharram révèle également la dérive autoritaire de certains établissements, qui, sous couvert d’éducation stricte, violent les droits fondamentaux. En des dizaines d’années, des centaines de victimes ont été recensées, sans que les auteurs ne soient jamais inquiétés. Nous défendons une éducation non violente pour tous et toutes.
Parce que ce scandale illustre un problème récurrent parmi les responsables politiques et économiques, qui, même face à des preuves accablantes, refusent de démissionner. Certain·es, même condamnés·e, semblent croire qu’ils et elles peuvent continuer leur mandat comme si de rien n’était. Cette situation est inquiétante et interroge l’efficacité réelle des mesures actuelles en matière de moralisation de la vie politique et économique.